Branislav Milic - Montenegro / Archives / 2000.06.22

NEW YORK - En compagnie de Karl Bildt (envoyé spécial de l'ONU), Javier Solana (Union Européenne) et Branko Lukovac (Ministre montenegrin des Affaires Etrangères), Zeljko Perovic, le chef de la mission montenegrine à New York, ont remis un document à l'ONU qui fait le point sur la situation au Monténégro.

En substance:
"La paix et la prosperité de la Yougoslavie et des Balkans repose avant tout sur la démocratisation du régime en Serbie.
"Les pressions sur le Monténégro, les activités de l'Armée Yougoslave, les possibilités que le Monténégro soit attaqué, les réalisations démocratiques du Monténégro, l'échec de la collaboration avec la Serbie,..."

La demande a également été faite pour que le statut du représentant montenegrin aux Nations-unies soit équivalent à celui de Zivadin Jovanovic, le représentant de la République Fédérale de Yougoslavie. Celui-ci a tenu a prendre la parole suite à la présentation du document au Conseil de Sécurité mais les autres membres occidentaux ne l'ont pas autorisé.

LE MONTÉNÉGRO PLAIDE SA CAUSE À l'ONU	22.06.2000

NEW YORK - En compagnie de Karl Bildt (envoyé spécial de l'ONU), Javier Solana (Union Européenne) et Branko Lukovac (Ministre montenegrin des Affaires Etrangères), Zeljko Perovic, le chef de la mission montenegrine à New York, ont remis un document à l'ONU qui fait le point sur la situation au Monténégro. En substance: "La paix et la prosperité de la Yougoslavie et des Balkans repose avant tout sur la démocratisation du régime en Serbie. "Les pressions sur le Monténégro, les activités de l'Armée Yougoslave, les possibilités que le Monténégro soit attaqué, les réalisations démocratiques du Monténégro, l'échec de la collaboration avec la Serbie,..." La demande a également été faite pour que le statut du représentant montenegrin aux Nations-unies soit équivalent à celui de Zivadin Jovanovic, le représentant de la République Fédérale de Yougoslavie. Celui-ci a tenu a prendre la parole suite à la présentation du document au Conseil de Sécurité mais les autres membres occidentaux ne l'ont pas autorisé.